La Forêt de l’Humanité

Une œuvre vivante de récits humains essentiels

La Forêt de l’Humanité est un espace symbolique et vivant.

Ici, chaque livret de récit devient un arbre.

Elle rassemble ce que les êtres humains ont traversé dans la profondeur.

Un lieu où les récits ne sont pas stockés mais plantés.

Pourquoi une forêt ?

Parce que les expériences humaines profondes ne sont pas des documents.
Ce sont des verticalités.

Parce qu’un récit ne vit jamais seul.
Il s’enracine, il résonne, il répond à d’autres récits.

Parce qu’une forêt n’est pas une collection d’arbres, mais un organisme vivant, relié par des racines invisibles.

La Forêt de l’Humanité est née de cette évidence : ce que nous avons traversé nous relie plus profondément que ce que nous affirmons.

Racines, verticalité, canopée, ciel

 

Chaque arbre de la Forêt de l’Humanité possède :

  • des racines, faites de ce qui a été vécu dans l’obscurité,
  • un tronc, lieu de la traversée et de la transformation,
  • une canopée, espace de partage et de résonance,
  • un ciel, vers lequel le récit continue de grandir.

C’est la seule forêt où les arbres montent jusqu’au ciel, car ils portent la lumière de ce qui a été traversé.

Comment se développe la Forêt ?

Un récit = un arbre

Chaque récit déposé à travers Murmures – Le Ponton de la Canopée devient un arbre de la Forêt de l’Humanité.

Un arbre unique, irréductible à tout autre.

Il ne représente pas une personne mais une expérience humaine essentielle.

Un livret = un Kintsugi intérieur

Chaque récit est restitué sous la forme d’un livret unique. Un objet d’édition sobre, respectueux, incarné.

Ce livret est conçu comme un Kintsugi intérieur, cet art japonais qui répare les céramiques brisées avec de la poudre d’or.
Il honore la fracture, la lumière qui en est née et rappelle que vivre, c’est être entier sans être intact.

Le livret est la forme visible de l’arbre.
La Forêt en est la mémoire vivante.

Comment l’aider à grandir ?

 

La Forêt de l’Humanité grandit par chaque nouveau récit-livret déposé.

Un choix éthique fondamental

Dans la Forêt, la parole humaine profonde ne s’achète pas.

Un individu ne peut pas payer pour déposer son propre récit.
Un livret ne peut exister que s’il a été offert par une autre personne.

Ce choix protège l’intégrité du récit. Il évite toute attente, toute pression, tout conflit d’intérêt entre celui qui raconte et l’acte de soutien.

Pourquoi ce modèle ?

Parce qu’un récit profond ne peut naître que dans un espace désintéressé.

Parce que ce qui se dit ici n’est pas une prestation, mais un passage.

Parce que ce qui nous relie ne relève pas de l’échange, mais du don à la manière d’un cadeau.

 

Un geste de reliance

Faire grandir la Forêt, c’est poser un geste simple et silencieux : faire de la place pour la parole d’un autre.

Une œuvre vivante

Une dimension patrimoniale et universelle

La Forêt de l’Humanité est une œuvre vivante et évolutive.
Elle grandit à mesure que les récits se déposent.

Elle constitue un patrimoine humain universel, fait d’amour, de fragilité, de courage, de perte et de transformation.

Ce patrimoine n’appartient à personne. La fondation Planet Sapiens veille sur lui pour le préserver, l’honorer et le transmettre.

 

Une mémoire pour demain

La Forêt de l’Humanité n’est pas tournée vers le passé. Elle prépare un avenir plus conscient, plus relié.

Elle rappelle que l’humanité se construit à partir de ce qu’elle ose reconnaître et partager dans sa profondeur.

Explorer la Forêt

Une cartographie sensible

La Forêt de l’Humanité peut être explorée comme on traverse un paysage. Les arbres ne sont pas classés par thème, ni par importance, ni par identité.

Ils sont présentés de manière anonymisée, selon une cartographie poétique, sensible, non hiérarchique.

Plantations en cours

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